by DOUGLAS VALENTINE and NICOLAS J.S. DAVIES on 03-06-2013
For the last few weeks, American pundits have been cataloguing the horrors. They tell how the Bush and Obama regimes, united in the unstated policy of war crimes, probably murdered more than a million Iraqis, displaced around five million, and imprisoned and tortured hundreds of thousands without trial.
L'histoire récente de l'Irak comporte deux événements de lourde portée, l'invasion du Koweït par l'Irak le 2 août 2024 et l'invasion de l’Irak par les États-Unis et le Royaume-Uni. Que des leaders politiques tirent des leçons de ces événements ce serait, au mieux, douteux. On continue à faire du tort aux Irakiens. Le danger de perdre la vie et la tourmente restent une part cruelle de la réalité de l’Irak au début de 2024. La souffrance collective d'une nation est manifeste et partout répandue. Elle ne peut être cachée.
When Madeleine Albright asked in May 1996 about the death of half a million Iraqi children as a result of UN sanctions, she said: "we think the price is worth it." By "it" she meant US interests, propping US hegemony, and preparing for regional military action.